Frédéric Gregoir

Poème surgi d’Istanbul... sur la flèche d’une réapparition

Une nouvelle envie de partager cette pensée labyrinthique

Pardonnez-lui, il ne sait plus ce qu’il crie...

Une illusion traverse le coeur

Le passé recouvre le temps

L’avenir s’allonge défait

Le présent n’est plus

Ombres démentielles

Couleurs fulgurantes

Photographiées sur le vide

D’une conception perdue

Dédale de fleurs

Emportées par le vent

Dispersées dans le sang

Sécrétions des plus discrètes

Et le soupire

Devient

Revient

Symbole de vie

Les steppes dansent au son du muezzin

Le muezzin envoûte les pensées

Si peu claires à présent

Qu’est-ce après tout ?

Pardonnez-lui il ne sait pas ce qu il vit.

Alea Jacta Est