Education Permanente SMart
Belgique
Domaines d'activité
- Nom d'artiste
- Education Permanente SMart
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- Province
- Bruxelles
- Date d'inscription
- Vendredi 31 mai 2013
Présentation
Reconnu par la Fédération Wallonie-Bruxelles pour son travail d’éducation permanente, SMart publie des analyses et des études en lien avec les préoccupations socioprofessionnelles de ses membres qui pour l’essentiel exercent leurs activités en tant que travailleurs autonomes dans les secteurs artistiques, créatifs et culturels.
Nous vous invitons à découvrir les dernières livraisons de 2016. L’ensemble de ces publications et le sommaire général sont disponibles sur notre site.
En janvier 2014, la ministre des Affaires sociales Laurette Onkelinx instaurait un élargissement du statut d’artiste et renforçait l’action de la Commission « Artistes », chargée notamment de délivrer le visa et la carte artiste. Après la mise en route effective de ses travaux, il était utile de faire le point sur ses missions et son fonctionnement. Bernadette Tshiebue, juriste chez SMart, nous dit tout sur La nouvelle commission « artistes ». Son rôle, son fonctionnement.
Un an plus tard, en janvier 2015, commençait le processus d’exclusion des allocations d’insertion. Nombre d’artistes en ont été victimes. Comment vivent-ils la situation ? Comment rebondissent-ils − ou pas ? Comment gèrent-ils l’exclusion, financièrement, professionnellement, socialement, psychologiquement ? Comment assument-ils cette nouvelle bohème forcée ? Nous avons mené l’enquête auprès d’un panel d’artistes et intermittents du spectacle bruxellois. Retrouvez les témoignages recueillis par Vince Otesanek dans : Exclusions : quelle vie après l’ONEM ?
Pour ceux qui ne le sauraient pas encore : en janvier 2017, SMart est devenu une coopérative. Dans ce contexte, nous poursuivons notre exploration du monde de la coopération, avec Jouer perso ou collectif ? Les leçons d’une expérience en cours. Au-delà des formes juridiques, la coopération est d’abord un état d’esprit, comme le montre l’expérience de Bien Fait Pour Ta Com’, qui vient de fêter à Lille son premier anniversaire en tant que collectif de production. Mais l’esprit, c’est comme la mayonnaise : il faut que ça prenne, nous explique Maud Grégoire.
Vous vous intéressez à la musique et aux conditions de travail des musiciens ? Deux sociologues suisses ont mené leur enquête dans le Valais et synthétisent pour nous les résultats de leur recherche, à découvrir dans l’article : Comment vivre de la musique à l’heure de la crise du disque ? Le cas des musicien.ne.s ordinaires de Suisse romande.
Les difficultés d’accès à la culture ne reposent pas seulement sur une question d’argent. De sorte que la gratuité ne suffit pas à assurer la participation du plus grand nombre à la vie culturelle. Les pistes à suivre sont-elles à chercher du côté d’internet et de ses pratiques de partage ? En tout cas, on peut y trouver des sources d’inspiration intéressantes à la fois pour les valeurs qui y sont véhiculées (gratuité, interaction, participation…) mais aussi pour la possibilité de toucher un public plus large. Deux articles de Johanne Clotuche pour y voir plus clair : Démocratisation de l’accès à la culture : au-delà de la gratuité et Internet : une culture plus proche
Le développement des lieux de coworking va de pair avec la multiplication des travailleurs qui exercent en freelances. Mais sous une même appellation peuvent se cacher des réalités et des intentions bien différentes. A Molenbeek, LaVallée se présente comme un tiers-lieu destiné aux artistes et créatifs qui cherche à s’intégrer tout à la fois dans son quartier et dans des réseaux internationaux. A découvrir dans : LaVallée : un espace à partager, des échanges à organiser.
Nous vous invitons à découvrir les dernières livraisons de 2016. L’ensemble de ces publications et le sommaire général sont disponibles sur notre site.
En janvier 2014, la ministre des Affaires sociales Laurette Onkelinx instaurait un élargissement du statut d’artiste et renforçait l’action de la Commission « Artistes », chargée notamment de délivrer le visa et la carte artiste. Après la mise en route effective de ses travaux, il était utile de faire le point sur ses missions et son fonctionnement. Bernadette Tshiebue, juriste chez SMart, nous dit tout sur La nouvelle commission « artistes ». Son rôle, son fonctionnement.
Un an plus tard, en janvier 2015, commençait le processus d’exclusion des allocations d’insertion. Nombre d’artistes en ont été victimes. Comment vivent-ils la situation ? Comment rebondissent-ils − ou pas ? Comment gèrent-ils l’exclusion, financièrement, professionnellement, socialement, psychologiquement ? Comment assument-ils cette nouvelle bohème forcée ? Nous avons mené l’enquête auprès d’un panel d’artistes et intermittents du spectacle bruxellois. Retrouvez les témoignages recueillis par Vince Otesanek dans : Exclusions : quelle vie après l’ONEM ?
Pour ceux qui ne le sauraient pas encore : en janvier 2017, SMart est devenu une coopérative. Dans ce contexte, nous poursuivons notre exploration du monde de la coopération, avec Jouer perso ou collectif ? Les leçons d’une expérience en cours. Au-delà des formes juridiques, la coopération est d’abord un état d’esprit, comme le montre l’expérience de Bien Fait Pour Ta Com’, qui vient de fêter à Lille son premier anniversaire en tant que collectif de production. Mais l’esprit, c’est comme la mayonnaise : il faut que ça prenne, nous explique Maud Grégoire.
Vous vous intéressez à la musique et aux conditions de travail des musiciens ? Deux sociologues suisses ont mené leur enquête dans le Valais et synthétisent pour nous les résultats de leur recherche, à découvrir dans l’article : Comment vivre de la musique à l’heure de la crise du disque ? Le cas des musicien.ne.s ordinaires de Suisse romande.
Les difficultés d’accès à la culture ne reposent pas seulement sur une question d’argent. De sorte que la gratuité ne suffit pas à assurer la participation du plus grand nombre à la vie culturelle. Les pistes à suivre sont-elles à chercher du côté d’internet et de ses pratiques de partage ? En tout cas, on peut y trouver des sources d’inspiration intéressantes à la fois pour les valeurs qui y sont véhiculées (gratuité, interaction, participation…) mais aussi pour la possibilité de toucher un public plus large. Deux articles de Johanne Clotuche pour y voir plus clair : Démocratisation de l’accès à la culture : au-delà de la gratuité et Internet : une culture plus proche
Le développement des lieux de coworking va de pair avec la multiplication des travailleurs qui exercent en freelances. Mais sous une même appellation peuvent se cacher des réalités et des intentions bien différentes. A Molenbeek, LaVallée se présente comme un tiers-lieu destiné aux artistes et créatifs qui cherche à s’intégrer tout à la fois dans son quartier et dans des réseaux internationaux. A découvrir dans : LaVallée : un espace à partager, des échanges à organiser.
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