Hero
Bruxelles, Belgique
Domaines d'activité
- Nom d'artiste
- Hero
- Province
- Bruxelles
- Téléphone
- 0032497906733
- Date d'inscription
- Mercredi 6 mai 2009
Présentation
Olivier Dressen, alias « Hero » est un artiste indépendant en motion design. Il travaille pour l'industrie du film, TV, groupes de musiques, bande dessinée, et la publicité, en tant que réalisateur, animateur, webdesigner, ou encore storyboarder... Hero a la tête toujours remplie d’images, d’idées et de nouveaux concepts créatifs et originaux. Ses inspirations lui viennent des souvenirs altérés de son enfance. Il consacre une majeure partie de son travail à l'enfance, la mort, l'amour et les souvenirs.
Pendant sa jeunesse, Olivier passe le plus clair de son temps à user crayon sur crayon. Vers 11 ans, il commence par suivre des cours chez un aquarelliste. Il est d'abord fasciné par les oeuvres des surréalistes belges, les encyclopédies et la bande dessinée. Il suit divers stages, notamment à l'Académie des Beaux-Arts de Liège et à Caméra Enfants Admis sur des petits courts métrages réalisés par les enfants.
Il passe aussi beaucoup de temps dans les livres et devant des documentaires télé. Ses favoris traitent de l'énergie atomique, des catastrophes naturelles, de la propagande américaine, du communisme, de la guerre froide et du maccarthysme . En 6e primaire, il remporte un concours de dessin inter-école en imaginant la voiture de l'an 2000. Il reçoit ainsi son premier vrai vélo...
Après sa formation aux Beaux-Arts de Liège, il étudie le cinéma d'animation à La Cambre, à Bruxelles. Inspiré dès son plus jeune âge par la culture pop américaine et les comics, il puise une part de ses inspirations dans l’univers acidulé des héros aux collants criards. Après ses études à La Cambre, Olivier se lance comme réalisateur et animateur dans la publicité. Son activité professionnelle lui permet de travailler en parallèle pour et avec divers artistes.
L'univers de Hero est un univers naïf et à la fois cruel, traversé de tons colorés, souvent empruntés au monde de l'enfance. Les images de Hero renvoient à des scènes à la fois teintées de violence et pleines d'ironie.
Dans son court-métrage Vive les vacances par exemple, une petite famille paisible et apparement sans problème se fait faucher par un bus scolaire. Hero traite l’histoire de manière enfantine, dans la joie et la bonne humeur. Le film se solde par un traditionnel ‘happy end’.
Dans RRJ, Hero détourne un dessin animé pour enfant pour en faire un film apocalyptique. Dans 5 minutes, court-métrage plus réaliste et intimiste, Hero décrit la vie et les souvenirs d'un haut fonctionnaire américain au moment de la Crise à Wall Street.
A partir des souvenirs voilés, entremêlés, erratiques, discontinus de son enfance, Hero a mélangé toutes sortes d'influences pour créer un caléïodoscope d'images hétéroclites et d'apparence étrange. Il fait se côtoyer les sentiments les plus divers, allant du rire à la mélancolie, du jeu à la guerre.
Hero n'est pas à un paradoxe près, et ne s’arrête pas à un style graphique précis.
Dans sa nouvelle Madame S, Hero raconte au jour le jour ses digressions et déboires sentimentaux, avec le besoin d'écrire pour ne pas oublier. Il se sert de la bande dessinée tantôt naïve, tantôt réaliste pour aborder ce thème avec humour et légèreté.
D'une certaine manière, le travail de Hero est une constante lutte contre la perte de la mémoire. Une façon de faire rejaillir par l’image des souvenirs égarés, perdus. À l'instar du collectionneur de papillons, Hero punaise les souvenirs trouvés par hasard ça et là au détour de chaque création. Pour passer immédiatement à sa prochaine prise...
Pendant sa jeunesse, Olivier passe le plus clair de son temps à user crayon sur crayon. Vers 11 ans, il commence par suivre des cours chez un aquarelliste. Il est d'abord fasciné par les oeuvres des surréalistes belges, les encyclopédies et la bande dessinée. Il suit divers stages, notamment à l'Académie des Beaux-Arts de Liège et à Caméra Enfants Admis sur des petits courts métrages réalisés par les enfants.
Il passe aussi beaucoup de temps dans les livres et devant des documentaires télé. Ses favoris traitent de l'énergie atomique, des catastrophes naturelles, de la propagande américaine, du communisme, de la guerre froide et du maccarthysme . En 6e primaire, il remporte un concours de dessin inter-école en imaginant la voiture de l'an 2000. Il reçoit ainsi son premier vrai vélo...
Après sa formation aux Beaux-Arts de Liège, il étudie le cinéma d'animation à La Cambre, à Bruxelles. Inspiré dès son plus jeune âge par la culture pop américaine et les comics, il puise une part de ses inspirations dans l’univers acidulé des héros aux collants criards. Après ses études à La Cambre, Olivier se lance comme réalisateur et animateur dans la publicité. Son activité professionnelle lui permet de travailler en parallèle pour et avec divers artistes.
L'univers de Hero est un univers naïf et à la fois cruel, traversé de tons colorés, souvent empruntés au monde de l'enfance. Les images de Hero renvoient à des scènes à la fois teintées de violence et pleines d'ironie.
Dans son court-métrage Vive les vacances par exemple, une petite famille paisible et apparement sans problème se fait faucher par un bus scolaire. Hero traite l’histoire de manière enfantine, dans la joie et la bonne humeur. Le film se solde par un traditionnel ‘happy end’.
Dans RRJ, Hero détourne un dessin animé pour enfant pour en faire un film apocalyptique. Dans 5 minutes, court-métrage plus réaliste et intimiste, Hero décrit la vie et les souvenirs d'un haut fonctionnaire américain au moment de la Crise à Wall Street.
A partir des souvenirs voilés, entremêlés, erratiques, discontinus de son enfance, Hero a mélangé toutes sortes d'influences pour créer un caléïodoscope d'images hétéroclites et d'apparence étrange. Il fait se côtoyer les sentiments les plus divers, allant du rire à la mélancolie, du jeu à la guerre.
Hero n'est pas à un paradoxe près, et ne s’arrête pas à un style graphique précis.
Dans sa nouvelle Madame S, Hero raconte au jour le jour ses digressions et déboires sentimentaux, avec le besoin d'écrire pour ne pas oublier. Il se sert de la bande dessinée tantôt naïve, tantôt réaliste pour aborder ce thème avec humour et légèreté.
D'une certaine manière, le travail de Hero est une constante lutte contre la perte de la mémoire. Une façon de faire rejaillir par l’image des souvenirs égarés, perdus. À l'instar du collectionneur de papillons, Hero punaise les souvenirs trouvés par hasard ça et là au détour de chaque création. Pour passer immédiatement à sa prochaine prise...
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