SMartLink 4: "Un discours pernicieux"

posté le 16/03/2010 à 18h29 - Signaler un abus

Dans l'article d'Antoine Pickels il est dit en substance:

- Les seuls à prendre réellement des risques restent les artistes. Ceux que prennent les producteurs, agents, etc sont très limités. Alors qu'une création ratée peut mener à l’exclusion.

- La plupart des intermédiaires sont sous-payés, ou s'exportent dans les pays voisins, ou baissent les bras et se recyclent ailleurs

- En s'appuyant sur l'illusion de "bureaux d'intermédiaires", l’État cherche à "canaliser" le désir et empêcher les artistes de grandir.

Membres de SMartBe, réagissez librement à cet article, ajoutez vos positions, débattez... ni la colère ni le sérieux ni l'humour ne sont interdits. Il suffit de vous identifier dans SMartagora.

avatar
Agoranomios